Parcourir le bulu

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sootsɔ̀ɔ́ t1Advne soot2Vmanière de disparaître complètementa jañeya ne sootil a complètement disparu.
soot, ne soot!A jañeya ne soot!Nla' ô nyoñeya ôsôé si ne soot!Minga ate a tubeya, soot! ékeké.2.3.1.6Transparent
sop1V5.4.1Jewelry
*sop28.3.3.3Color
sop3sɔ́ pnbazard, boutique
sossɔ́snsoude ou bicarbonate de soude
sotansɔ́tànVse détacher, s’échapper, quitter, tomber de …fa ja te nye sotane mola machette s’est échappé de ses mains.
sotan and sotôVôvôn ô ñga sotan me mo.7.2.2Move in a direction7.6.3Lose, misplace
sotésɔ́tèVenle ver, ôter facilementkele soté bikôndé biteva enlever ces chaussures.
sotô1V7.2.2.5Move down
sotô25.3.7Wear clothing
sotô3Minga ate a ne sotô.2.6.3Birth
sotô4sɔ́tòn1vêtement d’homme allant de la ceinture aux jambesétune (h) sotô bitune bi sotô2culotte (qui couvre de la ceinture aux genoux)ayabe sotô meyabe me sotô3pantalon (couvrant de la ceinture jusqu’aux talonse jaé abo sotô daentrer en conflit (litt. = porter un même pied de pantalon).
sotô5sɔ́tòndisposition d’une femme d’accoucher facilement sans trop souffrirminga ate a ne abiaé sotôcette femme a des accouchements faciles.
1pl.besôn1A type of antelope, the Bay Duiker.Une type d'antelope, le Céphalophe à bande dorsale noire encore appelé Céphalophe bai.Eine Art Antilope, der Schwarzrückenducker.gennsil1Cephalophus dorsalis Gray, 1846.1.6.1.1.3Hoofed animals2a fetish rite enabling the initiates to eat sô meat.4.9.8Religious things
2V14.2.1.4.1Welcome, receive2celebrate the end of mourning.sô akus.4.2.2.3Celebrate2.6.6.4Mourn
3nmoment, à la fois, en même tempsbia nye bi nga so sô jia(lui et moi) nous sommes arrivés au même moment.
4nrite d’initiation et de purification. Le « sô » était toujours organisé par un ancien qui avait le titre de « Nka’a-sô ». les candidiats à la purification avaient le titre de « nkpwésô », alors que les candidats à l’initiation étaient appelés « mvôn ». C’étaient des jeunes gens de 18 à 25 ans environs (l’écart entre les cérémonies était souvent très long : cinq à dix ans). Ces jeunes voulaient se débarrasser de tous les interdits qui les accablaient et se dépouiller ainsi du titre irrévérencieux de « ébis »; novice, petit, pour devenir des hommes dignes et responsables : les « benya bôtô ». Les candidats à la purification étaient des personnes acculées par une suite de malheurs inattendus. Les « bibis » suivaient passionnément et avec beaucoup d’admiration la vantardise des « mvôn » qui les plongeait dans un extricable complexe d’infériorité. Le « nka’a-sô » organisait la cérémonie à la suite de la demande du conseil des anciens du village. La cérémonie de purification était très simple : elle avait souvent lieu à côté d’un cours d’eau où le prêtre du rite, muni d’un paquet de bambou dans chacunede ses mains disait : « Nka’a melen melom ébaé mvu é di Meyo nka’a, nka’a ya minjuk, nka’a ya metyi, nka’a a ne Meyo atôme ngun. Biyo’é a meka’é ôsoé nkéé kuum ! mefok, ma’a mvom, ôsôsé akôéé mioññ ! » = « Le varan était au dessus du palmier et sur l’arbre « Ebaé » ; le chien s’est emparé du varan de Meyo ; le varan qui a coût tant de peines tant de sang. Le varan de Meyo qui est un précieux souvenir. Que la malédiction et les mauvait sorts disparaissent définitivement en aval : et que la fortune, la chance et le bonheur nous parviennent abondamment de l’amont ». Chaque fois que le fétichiste disait « kuum » ! et « mioññ » il jetait la poignée de bambous en aval et tantôt en amont du cours d’eau. Pendant toute la durée de la cérémonie, les personnes acculées par les malheurs restaient immergées dans l’eau, avec seule la tête dehors. La cérémonie d’initiation était beaucoup plus compliquée et comportait de multiples étapes et d’inombrables épreuves de courage et d’endurance. Ces épreuves dont certaines étaient de véritables suicides, se déroulaient pendant plusieurs semaines et même des mois. Par exemple, il fallait subir l’ « éfatémebel » (= cueillette des kolas). Elle consistait à grimper sur l’arbuste « mebenga », dont les branches creuses logent de grosses fourmis noires aux piqûres très douloureuses ; il fallait encore subir la longue épreuve du tatouage etc. Enfin, au dernier jour, les jeunes initiés s’enduisaient le corps avec la poudre de l’acajou « baa » et on leur donnait le titre de « éngbwañe-mvôn ». On devenait définitivement « nya-môtô » quand un camarade du rite avait réussi à tuer un adversaire redoutable au cours d’une guerre. Si la phase finale se déroulait en présence d’un grand notable d’un autre clan, on l’invitait au festinde clôture et cette présence suffisait pour que son clan et le clan qui le reçoit devinrent liés dans le pacte de plaisanterie dit « avusô ». Cfbibisavusô.
sô'é1sό’ènessoufflement provoqué par une marche rapide quand on poursuit quelqu’unwo te bia jalé sô’é, éyoñe bia te wo tôñtu nous as bien essoufflé quand nous t’avons poursuivi. Cf.sô’ôé.
sô'é2sό’èVquitter, enlever, ôter. Voirsô’ô
sô'ô1Vs7.8Divide into pieces
sô'ô2só’òVquitter, s’enlever, ôter en parlant de la peau, de l’écorce ou de toute autre pellicule enveloppanteékôbe ja te nye sô’ô éyoñ a te kusa peau s’est enlevée quand il est tombé ; on dit aussi « sô’é ».
sô'ôbô1V7.8Divide into pieces
sô'ôbô2só’óbòVse décoller, sauter, s’enlever. (voir « sô’ô)
sô'ôésó’òènessoufflement des suites d’une marche rapide, en poursuivant quelqu’un